2021/09/28 (火) 23:30
Un hommage aux Beaux Jours de Beckett et à la Ciboulette.
Je t’avais réservé l’ogre et le titan :
Là on tutoie les ciels de Tsugaru[1], que dis-je, du Kamchatka !
2021/09/28 (火) 23:40
Play it again Sam.
Certains metteurs en scène ont des idées.
Je serais volontiers allé moi aussi à Inis Oirr[2].
2021/09/29 (水) 0:15
Tant qu'à faire coexister les géants...
2021/09/29 (水) 0:47
Rien à rajouter. Ou alors...
Je ne crois pas que l'on puisse dire aussi bien ce "Dreht er was er kann". La déclamation de DFD touche au vertige dans sa perfection. Que dire de l'accompagnement ?
2021/09/29 (水) 1:15
Evidemment insurpassable, nous grillons d'ailleurs joker sur joker ce soir.
Qui n'a (presque) rien à voir, et (sans certes monter aux arbres) je ne déteste pas :
2021/09/29 (水) 16:23
C’est très beau.
Récemment – cette décade mettons – je ne détestais pas non plus ce "jeune interprète" qui a déjà donné deux versions du cycle des cycles. La plus récente est avec Malcolm Martineau :
Les jours donnés aux dieux ne sont jamais en vain.
Je préfère la version avec Brendel, mais cela tient à d'infimes détails. Cette œuvre a de toujours été associée pour moi à Caspar David Friedrich qui, le premier, a affirmé que l'artiste ne peignait pas ce qu'il avait devant lui, mais ce qu'il avait en lui.
Après Beckett, voici un autre admirateur du Voyage, c'est aussi un de mes metteurs en scène de prédilection. Je voulais te mander un extrait, j'ai trouvé le film entier. Je ne sais pourquoi la lettre B m'a donné beaucoup de leçons de ténèbres : Beckett, Bernhard, Bergman, Bernanos...