2024/12/12 (木) 1:58
Je viens de mater un téléfilm de 82 qui tient du roman de gare, mais Yolande Folliot [1] est d'une beauté fascinante, Venise hors la période et les quartiers touristiques d'une formidable télégénie, et l'illustration musicale glorieuse. Cela vaut la peine d'y perdre -et de s'y perdre- trois heures.
2024/12/16 (月) 18:28
Je me souviens en avoir pincé fort pour Yolande Folliot – autre nom surgi du passé.
Je découvre ce site avec quelques belles recommandations :
2024/12/17 (火) 8:04
Je me souviens en avoir pincé fort pour Yolande Folliot – autre nom surgi du passé.
Elle semble s'être ensuite beaucoup gâchée, y compris physiquement (épaissie...), dans des foultitudes d'Au théâtre ce soir. Je relève un téléfilm en costumes de 76 (24 ans !) que je ne me suis pas encore appuyé. Je crains le pire, mais la (re)voir dans l'éclat de sa jeune beauté est une promesse de festin.
Je découvre ce site avec quelques belles recommandations :
Non, nous ne le découvrons pas. C'est ce site (sur lequel tu m'avais aiguillé je crois) qui, hérité au départ d'une sorte de queer fanzine new yorkais, me mit par sa qualité la puce à l'oreille et me convainquit que nous devions céder aux sirènes du blog (je préfère d'ailleurs le mot site), qui m'avait tant rebuté au début.
2024/12/18 (水) 11:28
La première installation de la série en costumes dépasse le mur du çon, la belle Yolande figure toutefois dans une adaptation un peu moins honteuse de La poupée sanglante de Gaston Leroux, dont You tube là aussi ne nous offre que le premier épisode.
Edith Scob y figure également, quelques années après Les yeux sans visage qui sont également, je viens de le vérifier, en intégralité sur You Tube. Je me souviens avoir vu cela avec terreur, sans doute dans un cinéma d'art et d'essai de l'époque. Je n'ai pas ton goût pour ce genre de cinéma, mais je ne peux pas faire moins que d'effectuer ce pélerinage dans notre passé qui constitue l'un des charmes les moins contestables de nos Folies.
2024/12/18 (水) 17:51
Les yeux sans visage est à la revoyure un admirable chef-d'oeuvre, d'une horreur d'ailleurs parfaitement retenue, drôle qu'il m'ait laissé pareil souvenir d'épouvante.
De 18'30" à 18'42", une incroyable bourde de la scripte au beau nom de Ginette Diamant-Berger, tu m'en diras des nouvelles.
2024/12/18 (水) 18:01
Je me souvenais très bien de La Poupée sanglante. Ce n'est pas Nosferatu, mais ce n'est pas mal.
As-tu lu cette nouvelle « amusante » :
2024/12/18 (水) 21:29
S'agissant de Salammbô, tu sais l'admiration que j'ai pour l'air à crucifier tous les sopranos, et pas seulement la malheureuse Susan Alexander [2], dans la formidable interprétation de Venera Gimadieva,
et pour le superbe Moussorgsky impérialement chanté par la grande Borodina.
Quant à Gergiev, peut-être était-il tout simplement allé faire ses besoins dans la mer? !
[1] Comédienne française née en 1952.
[2] Le nom de l'épouse de Kane dans le film de Welles, qui s'époumonne en vain à chanter cet air diabolique.